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Guides de Montagne

Savoir en montagne | Récupération en crevasse partie II - Matériel & noeuds

Tout ce bric-à-brac me donne la chair de poule.

26/02/2014
Knut Pohl
Six articles pour acquérir des connaissances complètes sur le sauvetage d'urgence dans une crevasse. La deuxième partie est consacrée aux nœuds...

Le sauvetage en crevasse est l'un des sujets que la plupart des randonneurs, skieurs alpinistes et freeriders considèrent comme complexes. Pourtant, les principes de base sont assez simples et les outils pour les appliquer ne sont pas non plus sorciers. Une fois que l'on a compris les deux, on est en fait armé pour toutes les situations sur le glacier. Aujourd'hui, nous souhaitons vous présenter les nœuds et le matériel nécessaires.

Matériel

Le matériel nécessaire pour le sauvetage en crevasse n'est en principe pas trop complexe, mais il varie en fonction de la situation, de la taille du groupe, des techniques et stratégies de sauvetage en crevasse à couvrir et, surtout, des conditions à prévoir. Et ce n'est pas tout, la manière dont le matériel est réparti dans le groupe, ce que chacun porte sur soi ou la quantité de redondance que l'on prévoit est aussi une question de goût.

Dans la partie consacrée au matériel, nous vous présentons le matériel de manière détaillée - même s'il est peu probable que l'on ait besoin de tout le matériel ensemble, et que certains éléments sont clairement à classer dans la catégorie "mourir dans le luxe"" - pour ensuite, dans la partie suivante Exemples d'applications et de types, vous montrer quelques possibilités sur la manière dont le matériel nécessaire pourrait se présenter en fonction des circonstances.

Baudrier Chaque membre du groupe a besoin d'un baudrier à porter par-dessus les vêtements. Comme il n'est pas prévu de s'y suspendre longtemps et souvent, et qu'il sera de toute façon porté par-dessus les vêtements d'hiver, un baudrier simple, non rembourré, avec peu ou pas de porte-matériel suffira - en fonction également de la présence ou non de porte-matériel sur la ceinture ventrale du sac à dos. Les ceintures spéciales pour l'alpinisme, que l'on peut enfiler sans avoir à les traverser, sont les plus appropriées.

Corde Pour l'encordement sur glacier et le sauvetage en crevasse (ainsi que pour un éventuel rappel prévu), une corde à double est suffisante. Les cordes jumelles ne sont plus guère utilisées et ne sont pas recommandées partout selon la doctrine, mais elles sont tout à fait suffisantes pour le simple assurage sur le glacier. Bien entendu, une corde à simple peut également être utilisée. Hormis le poids supplémentaire, il n'y a aucun inconvénient. Pour de nombreuses applications, une longueur de corde de 30 m est suffisante, sauf pour les grands groupes (il est toutefois plutôt recommandé de répartir les grands groupes sur deux cordes). De même, à 30 m, la réserve de corde est souvent trop faible pour utiliser la technique de récupération du moulinet détaché (voir Partie IV). Si nous avons besoin d'une corde plus longue, par exemple pour descendre en rappel, deux demi-cordes de 30 m (dont une reste dans le Sac à dos) sont préférables à une corde de 60 m. Si l'on dispose déjà d'une corde, l'achat d'une autre corde ne vaut généralement pas la peine pour des randonnées occasionnelles sur les glaciers.

MARINS Il existe de nombreux types et formes de mousquetons. Pour le sauvetage en crevasse, deux types sont particulièrement recommandés : Les grands mousquetons en forme de poire, appelés HMS, qui s'utilisent parfaitement dans la construction d'ancrages pour le point central ; ainsi que les mousquetons symétriques ovales ou en forme de D, qui sont faciles à manipuler. Les mousquetons asymétriques sont surtout adaptés aux points fixes en rocher, qui ne sont pas présents sur les glaciers. On distingue les mousquetons à fermeture, dont le doigt peut être protégé contre une ouverture involontaire, et les mousquetons normaux sans cette possibilité de fermeture.
Pour avoir la possibilité de se hisser soi-même, il faut au moins deux mousquetons à fermeture sur le baudrier. Pour être prêt à toute forme de sauvetage en crevasse, il faut au moins trois mousquetons à verrouillage et un mousqueton normal dans l'équipement de groupe. Si l'on utilise des broches à glace comme ancrage, il faut un mousqueton à verrouillage supplémentaire par vis.

BOUCLIER D'ANCRAGE Une sangle de 120 cm (mieux : une sangle en corde dynamique spécialement conçue à cet effet) est attachée dans l'anneau d'encordement au moyen d'un point d'ancrage et liée au milieu en deux segments par un nœud en huit ou un point de sac. Chacun l'emporte avec soi, fixé dans l'anneau d'encordement du baudrier, même lorsqu'on marche sur le glacier sans être encordé, afin de pouvoir à tout moment mettre en place rapidement un auto-assurage. L'extrémité est fixée au sac à dos par un mousqueton de fermeture au-dessus ou au niveau de l'épaule (bretelle, sangle de serrage ou anneau de portage). Ainsi, en cas de chute en crevasse non encordée avec perte de connaissance, elle est plus facilement accessible par le haut pour les sauveteurs que l'anneau d'encordement.

Boucle de main Une boucle de cordelette de reep d'environ 1,5 m de ficelle de 6 mm de diamètre permet d'attacher une sangle à la corde au moyen d'un Prusik ou d'un nœud de serrage croisé, en guise de dragonne, lorsque l'on marche encordé. La dragonne permet non seulement de bien manipuler la corde, mais elle est aussi utilisée pour créer des ancrages temporaires, fixer des objets (très pratique en terrain exposé) ou monter sur corde.

LONGUE FILLE DE REPÊCHE Pour le sauvetage en crevasse, il faut au moins une cordelette de 6 mm d'épaisseur d'environ 5 m de long dans l'équipement de groupe. Si l'on envisage de se sauver soi-même de la crevasse et que l'on veut grimper de manière autonome, il faut en avoir une disponible sur le baudrier. Comme la cordelette est compacte lorsqu'elle est enroulée, qu'elle est légère et qu'elle peut être utile dans de nombreuses situations, rien ne s'oppose à ce que chacun en emporte une.

Boucle de sangle Il faut au moins une boucle de sangle de 120 cm pour pouvoir construire une ancre à neige. Il est préférable d'en emporter deux, réparties dans le groupe, en comptant les éventuels cordons ombilicaux. Un piolet standard pour l'alpinisme classique, avec un manche droit ou légèrement courbé, est le mieux adapté à l'utilisation en alpinisme. Une pelle sur la tête aide à enlever la neige et le givre superficiel et à construire des ancrages. En règle générale, il suffit qu'un tel piolet réponde à la norme B pour les engins de base. Un piolet a la bonne longueur lorsqu'il est saisi par la tête, le bras relâché, et qu'il descend à peu près jusqu'à la cheville.

VIS A GLACE Une vis à glace est accrochée à la ceinture. Les vis à glace avec manivelle intégrée et œillet tournant librement sont les plus adaptées. Ainsi, pendant le vissage, on peut déjà se clipper avec le "cordon ombilical" sur la vis à glace et avoir immédiatement un point fixe pour l'auto-assurage. Une solution rapide et donc bonne!

S'il ne faut pas s'attendre à de la glace vive en surface en hiver, on n'a pas besoin de vis à glace sur le harnais et tout au plus d'une ou deux au cas où dans l'équipement de groupe.

FILET D'ABALAKOV S'il existe la possibilité de pouvoir construire une ancre dans de la glace solide au moyen de montres à glace, on a besoin d'un fil d'Abalakov et bien sûr de la cordelette appropriée.

TIBLOC Ce petit bloqueur léger, qui fonctionne en combinaison avec un mousqueton, est très utile lors de la construction d'un mouflage, et il faut donc en avoir au moins un dans l'équipement de groupe. Un Tibloc peut également être très utile lors de la remontée sur corde, mais il peut toujours être remplacé par des nœuds Prusik ou même Prohaska faits avec la dragonne.

ROBINET DE RECUL AVEC PAROI Que l'on utilise le Ropeman, le Mini- ou Micro-Traxion ou autre, ces petits appareils sont extrêmement utiles. Ils minimisent nettement le frottement de la corde au point de renvoi et disposent en outre d'un antiretour intégré. On devrait donc en avoir au moins un dans l'équipement de groupe. Comme elle peut en outre être utile lors de la remontée sur corde, le premier de cordée peut envisager d'en avoir une supplémentaire sur le harnais.

ROULE DE DÉVERROUILLAGE Pour certaines applications, une simple poulie peut également être utile. Les poulies en plastique particulièrement simples, utilisées avec un mousqueton comme axe de poulie (par exemple Petzl Ultralegere), sont faciles à emporter et ne posent aucun problème.

RESCYOU Un appareil qui rend superflu presque tout le matériel mentionné ci-dessus et avec lequel on est armé pour toutes les situations de sauvetage sur le glacier est le RescYou de Mammut.

TUBER Non seulement nécessaire pour un éventuel rappel, un tuber peut également être utilisé pour l'auto-ascension ou comme anti-retour, même si le frottement dans l'appareil rend le système relativement inefficace.

Couteau Un bon couteau pliant, qui se range facilement, de préférence avec un tranchant ondulé dans au moins une partie de la lame, aide à raccourcir les cordes de repérage à la bonne taille.

Nœuds

Principe de base : on distingue toujours les nœuds simples avec un seul brin de corde et les nœuds piqués ou posés avec deux brins de corde. Un nœud piqué est réalisé en faisant d'abord le nœud dans un brin de corde, puis en passant le deuxième brin de corde (soit le même bout après un obstacle, comme la boucle du baudrier, soit une autre corde) en parallèle et de la même manière à travers le premier nœud. Les nœuds posés sont réalisés comme des nœuds simples dans une boucle de corde, en nouant simultanément les deux brins de corde de la boucle en un nœud commun. Une boucle de corde est une boucle ouverte dont les deux extrémités ne se croisent pas après l'arc, exactement comme la lettre oméga. En revanche, un œil de corde est une boucle dont les extrémités de la corde se croisent, à l'instar de la lettre Q.


POINT D'ANCRE En fait, il s'agit simplement d'une boucle au milieu de la corde et non d'un "vrai" nœud, le point d'ancrage est utilisé par ex. d'attacher le cordon ombilical dans l'anneau d'encordement du baudrier ou de s'attacher au milieu de la corde.

SACKSTICH Ce nœud simple, souvent connu sous le nom de nœud de surjet, de nœud de ménagère ou de nœud de bretzel (appelé aussi nœud de guide dans l'alpinisme suisse), peut être utilisé universellement pour beaucoup de choses. Le point de sac peut également être noué avec deux cordes parallèles ou avec une boucle de corde. Cependant, la forte réduction de la capacité de charge de la corde et le fait qu'il soit très difficile à défaire après une charge font qu'il existe souvent des nœuds plus adaptés à l'application concernée.

NOEAUX D'ARCHITECLE Un nœud polyvalent avec quelques applications. Il est facile à reconnaître, a une bonne résistance et est assez volumineux. Posé en bout de corde ou au milieu de la corde, il est utilisé pour se lier à la corde. Si l'on relie deux cordes de diamètres très différents, il faut en outre sécuriser les extrémités libres avec un autre point d'union posé en commun comme nœud de secours.

DOUBLE POINT D'ESPION Ce nœud, qui n'est pas recommandé en alpinisme en tant que simple point d'esperluette avec un tour de moins, convient parfaitement pour relier deux extrémités de corde ou de cordelette et est utilisé par exemple pour nouer des dragonnes ou des boucles de Prusik. Son grand avantage est qu'il permet de relier deux cordes de manière à ce que les extrémités de la corde quittent le nœud exactement en sens inverse. En outre, il digère bien les différents diamètres de corde. Malheureusement, il est difficile à défaire et convient donc surtout pour les nœuds planifiés à long terme. Les extrémités de la corde qui sortent du nœud doivent avoir une longueur d'au moins 10 fois le diamètre de la corde.

Ce nœud est extrêmement utile pour attacher la corde à des points fixes dans des mousquetons, car il s'ouvre très facilement même après une charge et se déplace très facilement sur la corde en poussant sur une extrémité et en tirant sur l'autre, ce qui permet d'adapter facilement la longueur de la corde aux besoins. De plus, avec un peu d'entraînement, il peut très bien être noué d'une seule main dans un mousqueton.

NOEUDS DE FROMAGE Ce nœud est fait dans la corde pour obtenir des nœuds de freinage sur la corde. Lors d'une chute en crevasse, les nœuds rongent la neige et se coincent dans la lèvre de la crevasse. Ils peuvent ainsi réduire fortement la violence d'une chute en crevasse ou la retenir complètement, ce qui aide à la fois à réduire le danger pour la personne qui tombe et à faciliter le travail des membres de la cordée qui la retiennent. En contrepartie, les nœuds dans la corde compliquent considérablement le sauvetage et ne sont donc généralement utilisés que pour des cordées de 2 à 3 personnes. L'avantage du nœud papillon est qu'il n'a pas de côté plat et qu'il provoque donc beaucoup de frottement dans la neige, mais il nécessite beaucoup de corde. Sur de tels nœuds, il est également possible de s'attacher au milieu de la corde.

NOEUDS DE BLOCAGE Parfois appelés nœuds de freinage, cette catégorie de nœuds a une caractéristique commune : tous ces nœuds se resserrent sous la charge et s'ouvrent facilement une fois déchargés ; noués autour d'une corde, ils sont utilisés pour la freiner, voire la retenir. De plus, l'effet de blocage peut être facilement réglé par le nombre d'enroulements, pour un effet de blocage plus important, il suffit de faire le nœud avec 1 ou 2 enroulements de plus. Pour le sauvetage en crevasse, quatre de ces nœuds sont intéressants, toutes les variantes étant redondantes et une question de goût - on peut se contenter d'un seul de ces nœuds pendant toute une vie d'alpiniste. Le NOEUD DE PRUSIQUE est le nœud de serrage le plus simple et le plus polyvalent. Il bloque très bien, de sorte que même les cordes mouillées et glacées peuvent être maintenues, et son effet de blocage est indépendant du sens de la marche. Malheureusement, il glisse mal le long de la corde et doit donc être porté à la main et maintenu ouvert. De plus, il ne bloque pas les sangles et les grosses cordes. La plupart du temps, on utilise une boucle séparée pour le Prusik, mais il peut aussi être utilisé enfilé au bout d'une corde. Le NOEUD DE CROIX - également appelé coinceur - ne bloque que dans une seule direction, contrairement au Prusik, et peut donc bien être utilisé comme bloqueur de retour. En outre, il bloque aussi avec des sangles et des cordes de reep épaisses, mais ne se déplace pas non plus aussi facilement. Contrairement aux deux nœuds coulants précédents, le NOUDLE FRANÇAIS est réalisé à l'aide d'un mousqueton. Il s'agit d'un nœud d'enroulement simple et très rapide à réaliser. Il se coince également dans les deux sens et peut être facilement ouvert sous charge. Cependant, il peut aussi s'emmêler et se détacher sous charge si on ne l'utilise pas correctement. Il doit donc être utilisé avec précaution. Le PROHASKA est un autre nœud de serrage qui se noue à l'aide d'un mousqueton et qui peut être facilement déplacé. Il bloque également avec des sangles et des cordes de reep épaisses et sur des cordes glacées. Il a toutefois un sens de serrage préférentiel et la corde ne doit pas passer par-dessus le mousqueton.

NOEUDS DE GARDE Le nœud de garde n'est en fait pas un nœud, mais seulement deux mousquetons enroulés, mais il constitue un antiretour efficace. Il est réalisé au moyen de deux mousquetons de même type ( !), accrochés parallèlement en un point commun. La corde est clipsée dans les deux mousquetons en partant du sens de la charge, elle revient par le haut sur les deux mousquetons et est à nouveau clipsée du même côté uniquement dans le premier mousqueton orienté dans le sens de la charge, de sorte qu'elle sort entre les mousquetons et y est coincée dès que la traction vient du sens de la charge. Le nœud de Garde produit toutefois beaucoup de frottement sur la corde, ce qui rend souvent inefficace un mouflage par exemple. Il convient cependant très bien à l'improvisation d'un antiretour.

La cordée s'attache à la corde de manière à ce que le premier de cordée ait un peu plus de distance que les autres membres de la cordée. Le mieux est que le premier et le dernier aient tous deux ~5 m de réserve de corde, on a ainsi la plus grande marge de manœuvre. Pour une cordée de deux personnes, il faut impérativement faire des nœuds de freinage dans la corde, sinon le risque que le deuxième soit entraîné dans la crevasse est trop élevé.

Lorsque le premier ou le dernier de cordée s'engage, les choses sont relativement simples. Il suffit d'enfiler un huit ou un point de sac piqué dans la sangle. Si la corde est trop longue, le dernier de cordée peut tout simplement fourrer le reste de la corde dans le Sac à dos. Comme on ne doit en principe jamais changer la longueur de la corde sur le glacier, c'est plus confortable que de porter la corde en boucles autour du torse et quand même disponible rapidement et facilement en cas de sauvetage.


Il existe plusieurs possibilités pour s'attacher au milieu de la corde. Le plus simple est de se clipper dans un nœud fait au milieu de la corde à l'aide d'un mousqueton de fermeture accroché à l'anneau d'encordement. Les nœuds possibles sont le nœud de huit ou le nœud de sac, mais aussi le nœud papillon. Il est également possible d'utiliser deux mousquetons normaux accrochés en sens inverse au lieu d'un mousqueton de fermeture.

Si l'on ne veut pas utiliser de mousquetons, on peut se lier au milieu de la corde au moyen d'un point de sac double. Pour cela, il suffit de faire un nœud coulant dans la corde, de faire passer la boucle ainsi formée dans le baudrier et de la repasser dans le nœud. Quatre brins de corde passent alors parallèlement à travers le nœud, ce qui rend l'ensemble assez volumineux. Si l'on veut être absolument sûr, on sécurise la boucle du nœud à l'aide d'un mousqueton.

Il n'est pas recommandé d'attacher la corde au moyen d'un point d'ancrage au milieu de la corde pour les courses sur glacier, car on ne peut pas sortir de la corde sous la charge.

On peut augmenter sa marge de manœuvre en nouant un point de corde. Pour cela, on place un point de sac avec une longue boucle dans la corde et on fait un autre nœud à l'extrémité de la boucle, dans lequel on s'accroche au moyen d'un mousqueton de fermeture. Toutefois, comme le mouflage pose des problèmes lors du sauvetage en crevasse et que le mouvement est généralement très régulier lors des courses sur terrain glaciaire, il vaut mieux renoncer au mouflage si l'on prévoit des courses purement glaciaires.

Le prochain épisode de cette série sera consacré à la construction de l'ancrage...

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