'Une œuvre commune transfrontalière et fédératrice qui témoigne d'une amitié de longue date!' ; c'est ainsi que le circuit de Madrisa est décrit sur les panneaux frontaliers et nous ne savons pas exactement s'il s'agit de notre amitié ou de celle des deux pays. Bien que cette fois-ci, nous n'ayons pas choisi les variantes transfrontalières, car la situation avalancheuse n'invite pas à des aventures particulièrement raides. Mais même ainsi, le tour en vaut la peine, surtout avec un temps aussi parfait ! Des nuages et du vent sont prévus pour l'après-midi et nous commençons par faire quelques descentes en hors-piste dans la région de Madrisa (Klosters). Il existe certes un billet de tour (une montée) qui comprend les remontées mécaniques du Gargellen ; mais s'il reste un peu de temps et si la neige est bonne, cela vaut la peine d'acheter le billet d'un jour, malgré son prix élevé, pour profiter encore de quelques descentes dans le domaine de Madrisa. À la station, on nous demande de remplir l'indispensable fiche de randonnée. Nous récupérons ensuite le prix élevé du ticket lors du délicieux déjeuner au Schafberghüsli à Gargellen. Toute la journée, on discute beaucoup pour savoir si le tour de Madrisa est plus avantageux depuis l'Autriche ou la Suisse !
Tour de freeride de la semaine | Tour de Madrisa
Un classique transfrontalier
Description de la course
Quel que soit le point de départ de la course, il faut la terminer au point de départ, sinon elle ne compte pas officiellement comme une course de Madrisa ! Comme nous l'avons mentionné, nous avons commencé dans la région de Madrisa et, après des virages dans la poudreuse qui en valent la peine, nous nous préparons en fin de matinée pour la montée au Schlappiner Joch. Nous partons à un peu moins de 2100 m et les 100 m de dénivelé jusqu'au yoch passent rapidement. Si les conditions sont délicates, il faut faire attention aux pentes raides en dessous de la Madrisa et ne pas s'attarder trop longtemps dans la traversée. L'ascension de la Schlappiner Spitze constitue une prolongation intéressante de la randonnée, mais nous la laissons de côté en raison de la situation avalancheuse. De plus, il fait déjà assez inconfortable ici au Joch et nous n'arrachons que rapidement les peaux de phoque des skis dans le vent fort et la neige charriée, pour ensuite profiter des 400 mètres de descente dans la vallée de Valzifenz. Cette pente n'est pas non plus sans danger, mais elle peut être parcourue en toute sécurité avec des skis. Vient ensuite le morceau de choix de la randonnée : avec peu de pente, il faut pousser ou patiner jusqu'à la piste à environ 1700 m d'altitude. Mais nous sommes tous d'accord : les virages précédents en valaient quand même la peine.
Voici la partie agréable : monter en télécabine et déjeuner au Schafberghüsli ! Il ne faut surtout pas manquer ça et s'offrir la délicieuse poêlée des contrebandiers (comment ils savent ???) ou un Leberkäs complet avec des frites. Sans parler du bon dessert (les boulettes au nougat avec de la glace à la vanille sont recommandées !) Vous serez probablement comme nous : Quoi ? Déjà si tard ? Nous devons encore monter au St. Antönier Joch ! Nous prenons donc le téléski, descendons dans la vallée et partons en direction du Joch (2379 m) avec des peaux de phoque. Les 300 mètres de dénivelé prennent un peu plus de temps que d'habitude, probablement à cause du fort vent de face et non pas à cause des boules de nougat. Au prochain passage de la frontière, en haut du St. Antönier Joch, nous ne devons pas non plus nous attendre à de longues files d'attente pour les formalités ; heureusement, car ici aussi, le vent souffle fort et nous sommes contents de pouvoir continuer à avancer rapidement. C'est pourquoi nous refusons l'offre de prolongation avec une courte montée au Riedchopf et nous nous mettons directement en route pour la descente vers St. Il faut bien sûr prévoir l'incontournable Calanda au café en face de l'arrêt de bus avant de monter dans le bus pour Küblis, d'où nous reprenons le train pour Klosters.
Conclusion
Cela vaut toujours la peine et ceux qui n'ont pas encore fait le tour de Madrisa devraient le faire au plus vite avant que les frontières avec la Suisse ne soient à nouveau fermées ! Après avoir fait de longs calculs, nous sommes d'avis que le circuit de Marisa est plus avantageux d'Autriche en Suisse. Mais seulement si l'on passe soi-même la poêle de contrebande à la frontière ! Encore deux remarques importantes : au printemps et les week-ends, il faut s'attendre à de longues files d'attente aux jochers frontaliers ! Et, l'arrêt du bus au train à Küblis ne suffit plus, avec le nouvel horaire, pour courir au kiosque et se procurer de la nourriture !
Informations
Difficulté (échelle de 5 niveaux): **
Durée: 5-6 heures
Exposition: SO, N, E, O
Meilleure saison : Janvier à avril
Accès: Selon le point de départ, soit en Suisse par la vallée du Rhin et à Landquart, départ vers Klosters, soit en Autriche par le Montafon jusqu'à Gargellen.
Galerie photo
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Baschi BenderCircuit de Madrisa
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