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Tests matos

Test matos | Völkl Shiro

Le ski freeride de Völkl en test pratique

20/02/2012
Marius Schwager
Il y a du nouveau dans la catégorie freeski de Völkl. Le Shiro devrait ravir tous les fans de vitesse qui se positionnent entre le large Kuro et le Katana. Un rocker continu doit assurer une polyvalence malgré toute la dureté et la stabilité. L'équipe de PowderGuide a testé le Shiro en pratique en montagne.

Comme un sabre de combat japonais fait à la main, le Shiro glisse sur la neige molle. Une fois la carre posée, il s'y déplace tranquillement. La limite de vitesse se situe quelque part à Mach3 (estimation grossière) - le pilote d'essai n'a malheureusement pas pu déterminer la véritable limite à cause des vêtements de freeride larges et par conséquent freinants - la limite lors de ce test se situait quelque part autour de 100 km/h.

La précontrainte négative continue n'a pas d'effet négatif ici, comme certains pourraient certainement le craindre. Au lieu de cela, le rocker continu confère au Shiro une maniabilité relativement élevée en comparaison directe avec les navires de guerre similaires de cette catégorie : que ce soit dans la poudreuse, sur des pistes défoncées ou roulées.

Le Shiro de Völkl - conduit dans une taille correcte, c'est-à-dire au moins une taille plus x - est le plus à l'aise dans les pentes larges et ouvertes. Sur les terrains plus étroits, la construction massive et le poids élevé qui en découle se font sentir. Dans les parties plus étroites de la forêt, le skieur doit placer ses virages avec une grande précision s'il ne veut pas seulement glisser, mais skier de manière fluide. Mais dans l'ensemble, même ces excursions plutôt étrangères au Shiro se font avec une facilité déconcertante.

Il faut certes un peu plus de force qu'avec un ski freeride moderne standard comme le Gotama de Völkl pour pouvoir se balancer convenablement dans une forêt dense avec le Shiro, mais avec un peu de prudence, même cela se fait étonnamment bien. Nous pouvons donc aussi cocher la case "aptitude à l'usage quotidien", même si c'est avec de légères restrictions. Le carbone ajouté ne rend malheureusement le Shiro que légèrement plus léger. Il est donc préférable de porter les longs passages avec d'autres skis si l'on veut avoir encore du punch dans les jambes pour la descente. Le carbone permet toutefois d'obtenir une bonne dose de dureté et de stabilité

.

La traction latérale (rayon) moyennement forte est une affaire de goût. Sur la piste, elle contribue à un plaisir de conduite digne d'un slalom géant, mais elle entraîne aussi de légères déductions dans des conditions de neige mixtes en raison d'une tendance occasionnelle à se couper dans des conditions de neige cassante. Personnellement, je préfère un peu de traction latérale pour plus de dérive. Mais ce n'est qu'une question de goût que peu de freeriders partagent avec moi.

"Got Balls ?"

Les grands et longs sauts sont un vrai plaisir grâce à la masse et au flex dur du Shiro. Ici, rien ne le déstabilise. Mais il faut encore veiller soi-même à la direction et à la trajectoire adéquates.

Même lors des atterrissages en backseat, le tail dur donne de la stabilité, ce qui permet de sauver certains sauts ou virages placés trop en arrière. Le Shiro de Völkl pourrait, si on le souhaite, être le support d'une appréciation jeune et masculine du risque avec une tendance à l'autodestruction.

Celui qui le désire absolument peut aussi très bien faire marcher le Shiro sur les pistes - pour ne pas effrayer ou même blesser les skieurs de piste, je ne le recommanderais cependant que sur des pistes très vides.

Quand et où utiliserais-je le Shiro de préférence ?
Grandes pentes larges avec beaucoup de potentiel de cliff (Engelberg - Laub et Steinberg, Andermatt - Felsental), jours de neige fraîche profonde par beau temps.

Où et quand préfèrerais-je un autre ski au Shiro ?
Partout où il faut porter, courir ou pousser beaucoup et où le dénivelé par descente est plus limité (Arlberg, Hochfügen) ou lors de journées de treeski dans des sections de forêt plus étroites.

Dimensions: 151-119-135 (en mm) (rayon 30,1 m) pour 193 cm de long

Conclusion

Un ski pour mettre les gaz ! Le Shiro ne décevra pas ceux qui aiment appuyer sur l'accélérateur jusqu'au sol, qui aiment sauter haut et loin, tout en restant étonnamment maniable pour son poids et sa longueur. Mais il vaut mieux réfléchir à deux fois avant de s'aventurer sur les pistes de ski, les bosses ou le freestyle. Il existe de meilleurs skis pour cela. Le Shiro s'inscrit parfaitement dans la catégorie des "vrais skis de freeride pour hommes", tout en étant beaucoup plus maniable et facile à skier grâce à son rocker continu que certains de ses prédécesseurs et concurrents.

Galerie photo

Remarque

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